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Ces animaux subissent des mutilations très douloureuses et sans anesthésie au préalable (comme le débecquage par exemple). 

Des milliards de poussins mâles sont tués chaque année, n'ayant aucune valeur pour l'industrie. 

Les animaux qui ne vivent pas en cage sont souvent entassés dans des entrepôts. Il n'est pas rare que le stress imposé par ces conditions leur soit fatal. 

Pour augmenter leur rentabilité, les poules pondeuses ont été triées au fil des années et seules les poules les plus performantes ont été sélectionnées pour la reproduction.  

Les poules pondeuses au sein d'élevages intensifs sont entassées dans des cages grillagées et ne voient jamais la lumière du jour.

L'environnement des élevages intensifs ignorent les besoins naturels des chèvres et sont totalement inadaptés à l'espèce. 

Les chevreaux sont sevrés très tôt de leur mère, pour des raisons économiques. Ils sont alors nourris d'un substitut de lait tandis que les chèvres sont traites pour alimenter l'industrie laitière. 

Des millions de chèvres souffrent chaque année, exploitées par l'industrie textile pour leur laine (mohair et cachemire).

Les animaux sont parfois transportés vers des pays tiers, où les normes de protection animale sont faibles, voire inexistantes. Les chèvres y sont alors égorgées de manière cruelle, sans avoir été étourdies au préalable. 

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Les moutons subissent des mutilations sans anesthésie au préalable, comme l'ablation de la queue ou, pour les mâles, la castration sans anesthésie. 

Les agneaux sont sevrés très tôt de leur mère, pour des raisons économiques.

Le mulesing est une procédure extrêmement cruelle qui consiste à trancher une partie de la croupe d'un agneau âgé de quelques mois, souvent sans anesthésie, dans un but présumé préventif contre l'apparition de myiase (présence sous cutanée de larves de mouches). 

Plus de 100 millions de moutons sont maltraités et exploités pour l'industrie textile. 

Les animaux sont parfois transportés vers des pays tiers, où les normes de protection animale sont faibles, voire inexistantes. Les moutons y sont alors égorgés de manière cruelle, sans avoir été étourdis au préalable. 

Ces animaux subissent des mutilations sans anesthésie comme l'écornage, l'amputation de la queue, le marquage, l'étiquetage ou encore la castration. 

Pour répondre aux besoins alimentaires des bovins, une alimentation concentrée a été développée pour les élevages. Cette nourriture, présentée sous forme de farine ou de granulés, ne répond pas aux besoins naturels qu'ont les vaches de pâturer et ruminer. 

Plus de 60% des veaux européens sont arrachés à leur mère peu de temps après la naissance, ils sont aussi isolés de leurs congénères pendant leurs 8 premières semaines. 

L'attache à la chaîne va totalement à l'encontre des besoins naturels des bovins et perturbent fortement le rythme de vie normal d'une vache : pâturer, ruminer, se reposer, interagir librement avec les congénères etc. La restriction de leurs mouvements et de leurs comportements naturels a des conséquences désastreuses sur leur bien-être. 

Les races laitières actuelles ont été développées pour produire le maximum de lait. Cette reproduction sélective a des conséquences désastreuses sur la santé des animaux, qui développent des maladies congénitales pouvant être mortelles et des mammites extrêmement douloureuses (infection du pis de la vache). La sélection des races à viandes pour une meilleure rentabilité et l'engraissement que subissent les animaux provoquent chez eux des douleurs articulaires ou autres pathologies graves, liées à une prise de poids trop rapide et importante. 

Au sein de nombreux élevages intensifs, les bovins vivent dans un environnement restreint, sur un sol en béton et caillebotis. Bénéficiant rarement d'un espace de repos, ils risquent de développer des douleurs articulaires, des boiteries et autres blessures qui pourraient facilement être évitées en élevage extensif. 

Pour vendre le maximum de lait, les veaux sont retirés à leur mère peu après la naissance (quelques heures ou quelques jours selon les élevages). Ces veaux sont ensuite nourris avec un substitut artificiel, moins riche que le lait de leur mère. Cette nourriture inadaptée et le stress causé par le sevrage fragilisent les veaux qui sont sujets à de graves coliques, résultant ainsi à un taux de mortalité élevé. 

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L'élevage intensif ignore totalement les besoins naturels des porcs, ils subissent également des  mutilations généralement sans anesthésie au préalable comme la castration à vif ou l'amputation de la queue. 

Une nourriture spécialisée a été développée pour les élevages de porcs, ils consomment une alimentation concentrée qui provoquent chez eux de graves problèmes de santé. 

Les truies d'élevage intensif passent près de la moitié de leur vie enfermées dans des cages en métal. Cette pratique, prétendue préventive, empêcherait la truie d'écraser ses petits après la mise bas. C'est en réalité une pratique permettant d'élever les porcs dans des espaces restreints pour un gain de place et donc une meilleure rentabilité. 

Les terribles conditions de vie au sein des élevages intensifs provoquent des pathologies liées au stress qui pourraient être évitées en améliorant le bien-être des animaux. En savoir plus. 

La reproduction sélective a pour objectif d'obtenir le maximum de masse musculaire sur les animaux élevés qui sont ensuite engraissés. Cela a des conséquences désastreuses sur leur santé, ils développent notamment de graves pathologies cardiaques et articulaires. 

Les conditions de vie inadaptées au sein des élevages, notamment les revêtements de sols utilisés, provoquent fréquemment des boiteries, douleurs articulaires et autres blessures très douloureuses pour les animaux. 

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Ces animaux solitaires vivent près de buissons ou d'arbustes, dans leur environnement naturel. Les conditions de détention au sein des élevages intensifs vont totalement à l'encontre des besoins des oiseaux.

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Les canards musqués sont des animaux solitaires ne supportant pas la vie en groupe. Ces oiseaux sont débecqués (on leur coupe le bec) pour éviter qu'ils n'attaquent leurs congénères et certaines autres races de canards ont les ailes éjointées pour empêcher leur envol. 

Ces oiseaux ont besoin d'un accès permanent à un point d'eau pour s'y baigner, la majorité d'entre eux en sont pourtant privés dans les élevages intensifs. 

Le gavage est une pratique cruelle qui consiste à enfoncer un tuyau en métal dans l'œsophage de l'oiseau pour le nourrir de force d'un mélange composé de graisse et de maïs et ce, 2 à 3 fois par jour. Le foie ne peut s'adapter à cette prise de poids trop rapide et devient alors malade en accumulant les graisses. En fin de vie, les oiseaux ne peuvent plus se déplacer seuls. 

Les animaux d'élevage intensif vivent régulièrement dans des structures surpeuplées s'ils ne sont pas élevés en cage. Cette exiguïté est extrêmement stressante pour ces oiseaux et provoque trop souvent leur mort.

Ces oiseaux (principalement des oies) sont torturées pour leurs plumes, leur duvet est arraché à vif pour alimenter l'industrie de la mode et de la literie. 

Les animaux vivent souvent dans des conditions totalement inadaptées à leur espèce, entassés dans de minuscules cages au sol grillagé, sans espace de repos ou de paillage. 

L'élevage en cage ne permet pas aux lapins d'exprimer leurs comportements naturels. Ils vivent en surnombre et entassés dans de minuscules cages, alors qu'ils ont besoin de creuser, de courir et ronger. 

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La reproduction sélective des lapins angoras s'est concentrée sur les individus ayant le plus de fourrure, ce qui a des conséquences dramatiques sur la santé de leur progéniture. 

La lapins sont des animaux de proie de nature craintive, ils n'aiment pas être contenus ou manipulés. Constamment stressés par ces manipulations forcées, ils peuvent parfois mourir de crise cardiaque. 

En élevage intensif, les lapins sont élevés sur des sols grillagés qui leur provoque de grave blessures aux pattes. Les infections causées par ces blessures peuvent rapidement mettre la vie de l'animal en danger.